Revenant de mission autour de la semaine « Vie Fraternelle CANA » à l’autre bout du monde (15-24 octobre 2022), Gilles CORMIER constate combien la Providence a été généreuse et rencontre une équipe locale prête à donner davantage… 

La mission

Trois ans après la dernière mission et à la demande de l’équipe CANA sur place, je me suis rendu en Nouvelle Calédonie pour animer la semaine Vie Fraternelle et continuer la formation. La semaine a eu lieu dans l’île de Lifou à l’est, là où CANA s’était développée près de 30 ans auparavant, là où la pratique et la piété sont bien actives. En Nouvelle Calédonie, 90% des membres de la fraternité et des participants à cette semaine sont kanaks. 

Douze couples ont pu participer ce qui est très bien au vu des difficultés économiques ou la possibilité d’avoir des vacances après la pandémie. L’intendance et les repas étaient assurés par des bénévoles de la tribu locale. La Providence a été généreuse. 

Les responsables de fraternité, n’ayant jamais vécu eux-mêmes cette Semaine ont pu aussi y participer. Tous ont vécu de très belles choses et j’ai pu sentir leur grande soif de formation. Voici les principaux sujets qui ont retenu leur attention : la louange, la prière ignacienne, la relecture, comment grandir dans la transparence, la prière des frères, le témoignage, les enseignements à CANA. 

Les fruits

Ils sont très nombreux ! En voici quelques fruits – verbatim – :

Rencontre avec l’équipe CANA de Nouvelle Calédonie 

Nous avons pu prendre un bon temps pour relire ensemble ce que nous avions vécu, voir les forces et les faiblesses et envisager le futur pour la mission CANA en Nouvelle Calédonie. 

Voici ce qu’il en ressort :

Rencontre de l’évêque

C’est la première fois que CANA rencontre Monseigneur CALVET, évêque de Nouméa, qui a été très encourageant pour ce que fait modestement CANA.

Une équipe motivée prête à donner davantage 

Une très belle mission qui était indispensable pour confirmer le travail de ces dernières années. L’équipe CANA est motivée, soudée, spirituelle et a soif d’apprendre pour donner davantage et mieux. Pour se développer, ils espèrent que des couples de Nouméa viendront les rejoindre et comptent sur la Providence et une bonne communication pour les accueillir.